• Back from Montana

    Les états américains dans tous leurs états
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Montana – Treasure State – Helena – The last best place
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    <o:p> </o:p>En direct avec Héléna, Monte Anna
    <o:p> </o:p><o:p> </o:p>Monte Anna, le trésor s'tâte, Helena, le dernier meilleur endroit, ces quelques mots pour vous signifier que lors de mon voyage dans cet état, c'est moi qui fus dans tous mes états...
    <o:p> </o:p>Big Hole Valley... La vallée du Grand Trou... Fallait que moi, George Lennick, je vois ça avant de mourir... Alors direction Nord, à la frontière du Canada, vers ce bel état sous-peuplé : Monte Anna. Il faut dire qu'en tant que bel étalon j'avais été appelé par le centre d'insémination artificielle d'Helena pour regonfler leurs stocks alors au plus bas. En effet, les populations indiennes Pieds Noirs, Nez Percés et Gros Ventres étaient sous l'effet d'un mauvais sort, stérilisées au whisky de contrebande ( !) ou dieu sait quoi, ils n'arrivaient plus à engrosser leurs femmes, un comble doublement dramatique pour la tribu des Gros Ventres...
    J'arrivais donc à Helena dans le jet privé mis à ma disposition et après un détour à l'hôtel du Trésor qui s'tâte, je rejoignais l'Université pour un premier colloque.
    « Comment engrosser sa femme en 3 leçons » était le sujet du débat.
    Je n'y allais pas par quatre chemins et je demandais une volontaire. Une jeune indienne aux tresses de jais et aux yeux de jade sauta sur la scène, leste comme un lynx. Elle s'appelait Helena, pas par hasard, et elle était le totem de l'université. Je lui demandais de se déshabiller contre un A en anatomie et un A+ en sports, ce qu'elle fit avec des grâces d'étudiante qui arrondit ses fins de mois au Strip-tease du coin. Elle devait être de la tribu des Nez Percés car elle avait des piercings sur les oreilles, les lèvres, du haut et du bas, et sur les tétons aussi. Ses seins ressemblaient à deux petites poires qui redresseraient leur truffe brune. Un tatouage tribal montrait le chemin direct vers son trou de balle, invitation à laquelle j'avais du mal à résister. Devant tant de beauté sans un poil ni un poil de graisse, j'eus une érection comme Custer après la bataille voisine de Little Bighorn, la petite grande corne... Pour détourner mes yeux du tatouage tabou, je montrais alors à l'auditoire la position dite du Missionnaire. Je couchais Helena sur le bureau, et après lui avoir fait comme préliminaires un chaste baiser sur ses lèvres fermées, je lui glissais Popaul dans la zigounette. Elle serra les cuisses au dernier moment, me réclamant des A en physique, Français, biologie et histoire. Je lui aurais tout lâché, même un A en éducation religieuse. Je la pénétrais donc et fus très surpris de constater qu'elle était encore vierge (un mince filet de sang coula de la Nez Percé), ce qui me permit, pendant que je la limais pépère, de faire une diversion sur l'hymen et autres pucelages. Je lâchais ma purée dans son éprouvette rose, lui claquais les fesses amicalement et demandais à la salle quelques applaudissements. Helena se rhabillait et me dit qu'elle n'imaginait pas l'amour comme ça, que j'avais bien fait de venir pour rappeler l'essentiel. Elle employa des mots comme jouir, pied, Kama sutra, clitoris, branler, rosette, sex toys mais je lui assurais que ce n'était pas au programme de la première année. Elle me donna rendez-vous dans un an, la coquine, en me glissant à l'oreille que j'avais la bite deux fois plus grosse que celle des pauvres indiens dégénérés qu'elle avait fréquenté jusque là...
    Je pris ma pause de dix heures, un café machine, je me lavais vite fait le machin aux toilettes après avoir pissé bien jaune et j'attaquais la deuxième position : la levrette. Position bien plus compliquée à expliquer au Monte Anna car ils n'ont jamais vu de lévriers ou de levrettes mais seulement des Chiens Jaunes ou des chiens de prairie aux mœurs bien moins bourgeoises. J'appelais donc une seconde volontaire. Personne ne leva le doigt à part Helena qui voulait rebelote et un Gros Ventre gay. La mort dans l'âme je dus les récuser, on a de la déontologie dans notre société. La salle se mit alors à scander Anna. « Monte Anna, Monte Anna... » et je vis arriver une Pied Noir rouge comme ses ancêtres. Elle avait un drôle d'accent de là-bas, dis, et avait dû manger plus de couscous que de porridge au lait caillé.
    Je lui expliquais la position et elle releva juste sa jupe en daim pour que je poursuive mon cours. Elle avait un popotin d'hippopotame... La salle s'esclaffa. Je zoomais sur son anatomie poilue et expliquais bien que dans cette position là il fallait faire attention où l'on mettait son bâton rouge, car vulve ou anus, ça a pas le même goût preuve à l'appui, fallait pas se gourer car ça pouvait être fatal à la natalité. Et je crois que là je mis le doigt sur le problème, car je compris illico que les indiens fainéants allaient au plus court, imitant les coyotes pédérastes, et qu'ils ensemençaient leurs compagnes dans la boite à caca. J'expliquais alors le mouvement nécessaire des genoux, souples, et remontant, pour aller chercher la vulve un peu plus loin, le soutien de la main par en-dessous comme au jeu de la chistera, le yo-ho du chapeau comme pour un rodéo ce qui les fit rire, je prouvais aux filles que la bite en arc se tendait mieux avec un calumet de la paix fumé au préalable et que sous cette forme bananière elle trouvait mieux son chemin vers le vagin. Enfin je montais Anna sous les hourras du public « Monte Anna, Monte Anna, Monte Anna, Monte Anna... » et après un rodéo digne du hall of Fame, j'éjaculais comme un maitre se doit, une giclée chaude et puissante qui fit crier Anna comme une chienne, promesse d'anathème futur.
    <o:p> </o:p>Je revins six mois plus tard et je retrouvais mes élèves bien grosses, Anna plus qu'Helena, et je fus traité en héros. Depuis mon passage, 69 étudiantes étaient tombées enceintes. L'université me fit Doctor honoris causa.
    Surpris, je retrouvais Helena qui m'attendait à ma chambre d'hôtel.
    -Je vais appeler mon bébé George... Je crois que je suis amoureuse de toi...
    Elle se mit à sangloter. Je la faisais entrer et lui fis un câlin. Ses yeux de jade ses cheveux de jais eurent raison de moi. Elle se déshabilla pour me montrer son ventre de six mois. Son nombril faisait une bosse jolie. Je baisais ce ventre dans lequel ma vie se développait. Puis elle se tournait. Je me rappelais alors son tatouage tribal, invitation à l'amour anal. Elle se pencha et me dit de suivre son dessein. Je le fis et lui fis l'amour comme on l'aime à Sodome. Ça dura une heure grâce à la motte de beurre que m'avait apporté mon petit chaperon rouge au nez percé et je peux suite à ça vous certifier que « the last best place », le dernier des meilleurs endroits, se trouve au Monte Anna !

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